STRAVINSKY)
- Dessin fait en quelques minutes
- Dessin inachevé et sa remarque, je finirais un autre jour. (Dans le
trait en travers dit à nouveau la bouche mais dans un idiome simplifié Il intervient tel un signe réducteur , tiré d'un code plus primitif et ici mis en jeu au titre d'une option, disponible ou préférée. »
Ce trait en forme de crochet est semble t'il présent aussi dans le portrait de STRAVINSKY de 1920 et quelques autres des portraits de PICASSO et c'est le seul trait à ma connaissance qui est aussi net et visible dans ce portrait de STRAVINSKY de 1920. Ce qui est étonnant c'est que ce trait en forme de crochet on le retrouve dans le dessin de STRAVINSKY DE 1938 de manière encore plus nette et visible..
Vous savez que Picasso après avoir fait faire de nombreuses poses à GERTUDE STEIN ( 90 selon elle) pour son portrait a décidé de supprimer son visage qui ne convenait pas à PICASSO pour lui en faire un de mémoire et "devant ce regard neutre hors de toute physiologie de Gertrude STEIN, PICASSO affirma qu'un jour Gertrude STEIN ressemblera à son portrait ",
" Je peins non pas d'après le modèle mais l'image future essentielle"
n'a rien contre Fernande, il ne la désire pas non plus: il la peint à partir de ses préoccupations de peintre et cela suffit"
Pour Pierre DAIX: " Nous savons.....que PICASSO a autre chose en tête que la simple imitation du modèle, que par lui , le trait contredit l'imitation , est obligatoirement création......."
(fichier étude stylistique page 12 , 13 et 14)
" C'est une lutte formidable entre les différents instincts parfois
contradictoires qui guident sa main"
Il faut se rappeler que STRAVINSKY, ce 16 novembre 1938 est dans une situation très difficile à vivre qui le préoccupe très fortement . En effet la fille et la femme de STRAVINSKY souffrent toutes les deux du même mal ( la tuberculose). Cette maladie les emportera toutes les deux , sa fille quelques jours après ce 16 novembre 1938 ( 30 novembre) et sa femme quelques mois plus tard ( Avril 1939). L'état des deux malades est alors critique et cela a du se voir sur le visage de STRAVINSKY ce 16 novembre 1938 au théatre et au MARIGNAN , STRAVINSKY a du aussi certainement faire part à PICASSO de ses inquiétudes et donc forcement PICASSO a essayé de transmettre par son dessin cet aspect inquiet et dramatique de STRAVINSKY
Cet aspect dramatique que PICASSO il me semble, a voulu faire passer dans son dessin on le retrouve dans divers points du visage à la fois en montrant sur ce dessin un vieillissement prématuré de STRAVINSKY et en y ajoutant des stries très marquées et disposées avec débordements
Vieillissement engendré par de grandes oreilles qui est le signe de la vieillesse , double menton que STRAVINSKY n'avait pas en 1938, visage et lèvres enflés qui donne une expression d'inquiétude que l'on peut lire sur son visage .
L'aspect dramatique est accentué par des stries très marquées et brutales, les lèvres enflées, striées entrouvertes comme ci STRAVINSKY appelait à l'aide
Si on reprend chaque point évoqué ci dessus , on les retrouve dans
beaucoup d'oeuvres de PICASSO
Dans le cas de ce dessin,elles ont été appuyées, accentuées et placées de manière brutales et débordantes pour donner un aspect dramatique et dur au dessin. là aussi les exemples sont légions dans l'oeuvre de PICASSO.
Il est à noter dans le dessin de 1938 que le placement de certaines stries se rapprochent de la période primitiviste de PICASSO notamment celles au niveau de nez et des oreilles.
on retrouve des stries dans quelques carnets de dessins des demoiselles d'Avigon, notamment dans les figures de l'étudiant en médecine et du marin.
elles ont été appuyées afin de mieux accentuer l'expression du visage et cet aspect qui donne l'impression avec les lèvres entrouvertes que STRAVINSKY très affecté demande de l'aide. Elles sont aussi proéminentes et on retrouve aussi ce même type de lèvres dans certaines statuettes africaines notamment avec la tradition YORUBA
2-4 Stries Au niveau de la bouche
pour dessiner cette bouche PICASSO avait sans doute en mémoire l'image d'une statuette de la reine du CAMEROUN , la reine BANGWA qui appartenait à son amie Hélena RUBEINSTEIN et qui avait été photographiée quelques mois plus tôt en 1937 par un autre ami le photographe et peintre MAN RAY. Nous retrouvons cette même forme de bouche qui exprime un cri et sans doute PICASSO avait il ce visage en mémoire quand il dessina STRAVINSKY afin de mieux retranscrire l'état de désespoir dans lequel se trouvait STRAVINSKY au moment présent.
Il existe une photo qui étaye ce que je viens d'écrire ci-dessus sur l’état psychologique très bien retransmis par PICASSO , c'est une photo qui date de quelques mois précédents ( Mars 1938) prise à l'occasion également de la 1er d'une pièce de théatre ( CORSAIRE DE MARCEL ACHARD) et également dans un restaurant PARISIEN ou était aussi présent COCO CHANEL
Vous remarquez STRAVINSKY qui semble ailleurs et très préoccupé, il est penché , sa tête appuyé sur son bras et sa main comme quelqu'un de fatigué par le poids de ses soucis. Vous remarquez que tous les autres convives sont souriants et droits dans leur position excepté peut être aussi l'amie de STRAVINSKY à droite sur la photo qui fume peut être pour éliminer son stress et l'état de son visage montre qu'elle est aussi préoccupé par les soucis de son ami STRAVINSKY
On remarque aussi ce genre de stries avec ,la tête de taureau ( 1937), la femme aux mains levées ( 1937),la femme penchée en avant ( 1938)tête de femme sur papier journal (1941)
-pupille de Stravinsky , dessiné comme les propos de PICASSO ,rapportés
par Geneviève LAPORTE dans son livre « dans le cœur de Pablo PICASSO »
Nez, crochet du nez,forme des lèvres, bouche similaires au dessin de Picasso de 1951
« L’alphabet de Geneviève »
GRANDES OREIILES


L'opportunité d'une exposition sur la poésie de PICASSO au musée de la poste lui a permis la base de son étude , de nombreux poèmes manuscrits des années 1935 à 1938 Y étaient disponibles et exposés. Une expertise a donc été réalisée en bonne et due forme par rapport à des originaux et dans sa conclusion il ne fait plus aucun doute et il est établi dans l'expertise ( dossier dans paragraphe suivant) que les inscriptions du dessin sont bien de la main de PICASSO et selon ses propres termes
rapports aux inscriptions
Le M de Ma chérie ou aiMe
Le A de Ange
Le R de heuReux
Le I de oublIer
Le N de mon aNge
Le E de viE
Le X de heureuX
Le S de triSte
Le T de Toi
Le Y de GabY
ETUDE GRAPHOLOGIQUE
LETTRE A GABY
- PAGE 1-
S de Soleil
Ch de changer
Ch de chuchauter
LETTRE A
a de cheval
a de jacob
a de barcelona
Originalité de aux, Barre horizontale traversant le X
correspond au prolongement de la queue du u qui
précède
ECRITURE PENCHEE
Comme ecriture du texte du dessin de STRAVINSKY
MILITAIRE ET MARIGNAN (1938)
Les Deux premières lettres mi (militaire) et ma (marignan)sont droites et Les autres lettres légérement penchées vers la droite.
Les lettres sont liées les unes aux autres sauf dans un cas bien précis la Lettre i , entre le i et le l et le i et le t de militaire, et le i et le g de marignan ,Il y a un espacement, Similitudes des M, I,A, R
D - EXPERTISE DE L'ECRITURE
Marie SOULARD-GUILLEMAIN
Graphologue
Ancien expert près la Cour d' Appel
de Rouen
En janvier 2008, Monsieur Géry WATINE m'a
contactée en vue de
faire expertiser l'écriture comme étant celle de PICASSO
apposée au bas d'un dessin en sa possession afin de le faire reconnaître par les ayants-droits de PICASSO.
Ce n'est qu'après
avoir visité à plusieurs reprises
début 2009 l'exposition intitulée« Picasso - Poète»
au Musée de la Poste
à Paris, que j'ai accepté de réaliser cette mission.
Cette exposition m'a permis de travailler sur des écrits
originaux de PICASSO
correspondant à la période concernée par le dessin.
12 square
des Caléïdes - 49000 ANGERS
Ce dessin non signé
n'est pas rare chez Picasso. Son écriture et son style
en tant qu'artiste pourraient
à la limite se
suffire à eux-mêmes tellement
ils sont inimitables.
Rien ne relève de l'automatisme, mais plutôt de la soudaineté et de la spontanéité
de ses réactions. Picasso apparaît tout le long de sa vie comme vivant dans le
temps présent,
à travers une multitude de
transformations et de métamorphoses, ce qui explique des écritures différentes
selon les moments et les humeurs
d'une période donnée.
Picasso n'a jamais cherché à s'inscrire dans un style,
mais il est allé au gré de ses inspirations
jusqu'à dépasser toutes les limites.
Il intégrait
tout ce qui lui venait à l'esprit, que ce soit à travers la peinture ou
l'écrit, et il vivait au gré de ses émotions, ce qui explique une grande
diversité des signes graphiques. Il faut y voir une richesse extrême et une énorme aptitude
à varier, à s'intéresser à tout.
Son écriture
signifie qu'il vivait hors de toute contingence, de toute obligation et de toute normalité. Il se fiait uniquement à son instinct. L'écriture manifeste cependant plus de douleurs
et de tourments que de moments heureux.
Nous savons par ailleurs que Picasso datait
ses œuvres plus souvent qu'il ne les signait.
Son écriture est empreinte d'une charge émotionnelle considérable et elle ne peut laisser
indifférent, elle s'inscrit dans la même
mesure que ses dessins et ses toiles.
Nous savons également que Picasso avait l'habitude soit de dessiner
soit d'écrire sur tout support à
sa portée et où qu'il se trouve.
Pour réaliser
l'expertise sollicitée, j'ai donc étudié les documents
ci-après.
Poème du 24-28 novembre. 5. 6, 24 décembre 1935 en 18 états
Les états de ce poème
ont tous été vus en original
au Musée de la Poste.
Tout ce qui les concerne est écrit en bleu foncé.
Pour
certains chiffres et lettres, j'ai pris comme références le livre « Picasso poète » écrit
par Androula Michaël, vendu au Musée de la Poste avec lequel j'ai dû
travailler, faute de pouvoir consulter les archives de Picasso.
2e état - page 247
3e état - page 248
4e état - page 249
5" et Ge états - 250
7e état - page 251
13 eétat- pages 213e 54 et 255
14e état- pages 1- 2 - 3 -4 soit pages 256-257-258-259
17e état - page 270
18e état - page 271
L'expertise de l'écriture porte sur le texte suivant écrit au bas du dessin :
Stravinsky
au « Marignan »
en
1935
aux Champs-Elysées
Le mot « Stravinsky » est écrit de manière plus formelle que le reste
du texte comme pour souligner l'importance du personnage. Cela ressemble un peu à la signature que l'on appose
à la fin d'un texte.
Dans ce tracé, on ressent une application particulière notamment par des
lettres disjointes, appliquées et posées.
Sets On retrouve cette forme de« s >> simple et ouvert
dans de nombreux écrits :
•
14e
état page 1 « i el tiempo » dans la marge de la 1Ge ligne.
•
14eétat page 2 « us una »» 13e ligne.
•
14eétat page 2 « pri ionere »18e ligne.
•
14e
état page 2 « u recuerdo » fin de la 28e ligne.
•
18e état« e » fin dela 21e ligne.
1 On remarque
que très souvent le «
t » est cruciforme avec une barre plus ou moins longue. L'application apportée au mot « Stravinsky » réduit volontairement cette barre. On la retrouve à peu près
identique :
•
Se et 6e états, « plan1a >►, ligne
1- 2e partie.
•
18eétat« pues1a
», 12e ligne.
•
18e état« vis1a », 1Ge ligne.
•
18e état« balen1ia
>►, 30e ligne.
•
18eétat« en1ra », début 3e1
•
Page 87 « a1aché », 4e ligne.
La plupart des« a » sont très arrondis et identiques à celui écrit dans« Stravinsky ».
• 5e et Geétats « COP.§. », 14e ligne.
• Se et Ge états « c2rici.§.Sa prieta de tod2, 19e ligne.
• 7e état « adorn.ê_d2 », 4e ligne.
• 14eétat« arroriz da », 14e ligne, page 1.
• 18e état« punt.§. », 15e ligne.
Les « v » sont réalisés en forme de coupe, légèrement arrondis à la base, quelle que soit leur variante.
•
18e état« sinyerguenza », 11e ligne.
•
18e état« mueye », lSe
ligne.
•
18e état« nayidad », 17e ligne.
•
18° état« calayera », 27e ligne.
•
18e état «enyuelto », 32e ligne.
•
18e état« yiolin », 35e
ligne.
Le point sur le «
i >> est scrupuleusement respecté, en général légèrement à droite.
•
2e état« abanfca », 1ère
ligne.
•
3e état « ananfca », 1ère
ligne.
•
Se et 6" états« jasmins»,
4e ligne.
•
7e état« Inscrito », 4e ligne.
•
14e état page 1 « prlo » dans la marge à hauteur de la 16e
ligne.
•
14" état, page 2 « hacienda », lOe ligne.
D.
La
liaison du « i » et du « n » (« in ») se retrouve ci-après
:
•
17" état« insaciable », ligne
4 ( 1er mot
marge droite).
•
1s• état« insaciable », 11• ligne.
•
18e état« interfecto », 12e
ligne.
•
18e état« sin », 14• ligne.
•
18e état« violin », 35e
ligne.
Y.. Le« y » bouclé et prolongé vers la droite
se retrouve :
e5
et 6e états « hoy_ », 28e ligne.
Au vu des signes contenus
dans le mot « Stravinsky », on s'aperçoit que
Picasso observe des régularités même si celles-ci se reproduisent seulement
par intermittences. Comment penser que Picasso aurait pu écrire de manière stéréotypée ? Cela serait mal te connaître.
On peut
penser que pour Picasso, il est normal de ne pas s'appliquer et que l'on
rencontre dans son écriture autant
de variantes, puisqu'il disait lui-même : « Si
on pouvait écrire mal! ». Sa priorité n'est donc pas l'application.
Toutes les pages proviennent du livre « Picasso poète » édité par « Beaux-Arts de Paris» et vendu au Musée de la Poste.
<< Au Marignan 1935 aux Champs-Elysées».
Cette inscription semble avoir été écrite avec un autre crayon que le dessin
et le mot « Stravinsky », avec un débit
d'encre différent. On peut penser que la qualité du papier n'était
pas adéquate pour
l'instrument utilisé, ce qui a pu provoquer
un engorgement et la déformation de certaines
lettres.
au
voir page 5.
Cette lettre bien que souvent différente se retrouve néanmoins :
•
2e état « lengya de fyego », 1ère ligne.
•
3e
état« vyela », 7e ligne.
•
14e état page 1 « cgando
», rajout à la main ge ligne.
•
17e état« cgando », en marge gauche après« que», ge ligne.
•
18e état« nynca », 1ère ligne.
M Page 228 « la main » 2eligne et« mais » ge ligne.•
4e état « mano », à la dernière ligne.
•
5e et 6e états« manera
>>, à la 28e ligne. voir
page 5.
r Malgré ses variantes,
cette lettre est en général
bien formée.
•
3e état« cristal », 4e ligne.
•
se et 6e états « tira », dernière
ligne.
•
5e et 6e états« preciso
», avant
dernière ligne.
•
7e état « atraviesa », lSe ligne.
•
14e état page 4 « Dicembre », 1ère ligne
écrite à la main.
•
18e
état« souriente »,
16e ligne.
On constate en tout cas que dans presque
tous ses écrits, Picasso s'appliquait
particulièrement sur
cette lettre.
Voir page 6.
g
Même si la plupart des « g » sont effectués de manière moins
contraignante, on en retrouve deux qui se rapprochent du geste effectué
dans le document étudié. Il semble que la plume ait 'accroché' le papier et ait produit
un effet d'engorgement engendrant
une reprise maladroite.
•
14e état page 2 « enguantada », rajout à la main, 2e
ligne.
•
18e état« golongrinas », ligne 23.
n Les « n » sont très différents d'un
document à l'autre. Encore une fois, on ne peut que
constater la richesse de cette diversité.
•
14e état page 1 « carnal », rajout à la main, 4e ligne.
•
14"
état page 2 « tonta », rajout à la main, lOe_ligne.
•
14e état page 3 « fandango », rajout à la main en marge sous la 12e ligne_
•
13• état« unica », 22• ligne.
•
13• état« punalada », avant-dernière ligne.
Voir page 5.
!l Voir ci-dessus.
en
Cette lettre ne représente aucune complication et on la retrouve de nombreuses fois identique:
•
14e état page 1 « gl davgla », rajout à la main fin de la 2• ligne.
•
14° état page 2 « gn gl », rajout à la main suite 13e ligne.
•
17e état« cuando gl », rajout à la main en marge
de la g• ligne.
•
18• état« gl tomate », 4• ligne.
n Voir ci-dessus.
1935
Le «
1 » est très souvent
bâtonné :
• Page 64, « 10 », 8e ligne.
• Page 64, « 10 », 8e ligne.
•
Page
73, « 16 mai» 1ère ligne et« 18 mai» lOe
ligne.
• Page 87, « 15 >> décembre, lè,e ligne.
• Page 88, « 15 » décembre, 1ère ligne.
•
Page 89, « 16
>> décembre, 1ère ligne.
Page 120, dans la série de chiffres en bas à
Le
« 2 » est similaire selon les pages suivantes
:
• Page 77, « 29 » mars, 1ère ligne.
• Page 120, dans la série de chiffres
en bas à gauche.
• Page 121, dans la série de chiffres
en '3 - 4 et 5'.
• Page 122, dans la série de chiffres
en '8 et 9'.
Les « J.», tous parfaitement dans le même style et bien formés
:
• Page 120, dans la série de chiffres en bas à gauche.
• Page 121, dans la série de chiffres 3, 4, 5 et 6.
• Page 122, dans la série de
chiffres 7, 8 et 10.
•
Page
158, dans la série de chiffres, lignes 6, 9, 10 et 11.
Le « 2 » toujours reconnaissable :
• Page 40, « S »
décembre, 1ère
ligne.
• Page 120, dans la série de chiffres en bas à gauche.
• Page 121, dans la série de chiffres
en 3 et 4.
• Page 158, dans la série de chiffres, lignes 6, 8 et 11
.
Sous« 1935 », on trouve un soulignement en forme de vagues. Ce même soulignement se retrouve:
• Page 228 -presque
toute la page- .
• Page 89 dans les 1ère, 4e, Se, 7e, 11e et 12e lignes.
.!$ Celui-ci est identique :
• Page 216, dans« Kidnappers », 9" ligne.
y Celui-ci est identique :
• seet 6eétats,« hoy », dans l'avant avant dernière ligne.
M On retrouve
le même mouvement :
• Page 228, « la Main », 2e ligne,
• Page 228, « Mais », 8" ligne.
r Beaucoup de « r » comportent ce mouvement, quelques-uns sont très significatifs :
•
Page
206, « tord », 3e ligne.
• Page 206, « contre »,
4e ligne.
• Page 211, « cartarse
» 14e ligne.
• Page 212, « cristal », 1ère ligne.
•
Page 212,
<< cresta », 6e
ligne.
25.
Même
sicelui-ci ne présente
pas souvent une croix sans liaison :
•
Page 282,
«
au25. », dernière ligne.
• Page 102, « e25.otiques », ge ligne.
•
Page
102, «genoux», l0e ligne.
•
Page 127, « les deu25. », l0e ligne.
Ceci est encore une preuve par laquelle
on constate que dans la même page, Picasso
pouvait écrire très différemment.
Champs-Ely...
Lettre écrite de façon simple.
• 2e état,« abani_ça sa _çara », 1ère ligne.
•
2e état, « _çopa », 2e ligne.
•
13e état, « es_çondida » après « espera
» sous la se ligne.
•
17e état, uni_ça
», au-dessus de la ge ligne.
•
18e état, « ha_çe », lSe ligne.
g
Lettre écrite de façon simple.
•
se et 6e états, « photographie », 6e ligne.
•
7e état, « chorreando », 7e
ligne.
•
17e état« chaquetin », rajout dans la marge
à la suite de la 8e
ligne.
•
1se état, « noche »,
17e ligne.
•
18e état, « chivo », 25e ligne.
Voir page S.
Quelques exemples :
•
3e état,« aroma », Ge
ligne.
•
3e état,« como », avant-dernière
ligne.
•
Se et Ge états, « emporte », 8e
ligne.
•
7e état,« amanecida », 13e ligne.
•
14e état page 4, « Diciembre », 1ère ligne manuscrite.
Très peu visibles.
Page 49:
Voir le dessin intitulé « fluard.
Vaste Horizon. Mougins
(Alpes Mmes).
Un autre dessin de Picasso
intitulé « Salagaspar » daté
de février 1961 présente la même caractéristique, mais
ne figure pas dans le livre « Picasso Poète ».
Tout comme les lettres
dans « Champs-Ely... », le « 1 » semble écrasé par la place réduite en raison du bord de la feuille. C'est pourquoi
le mot n'est pas terminé.
•
Se et 6e états, « !e crit », 12e
ligne.
•
7e état,« la radio»,
13e ligne.
•
17e état, « go!ondrinas », rajout à la
main intercalé entre « que >> et « cuece »
à la
lle
ligne.
•
18e état,« ba!entia », 30e ligne.
CONCLUSION
De toutes ces comparaisons, il apparaît que le graphisme peut être différent selon la technique et le
matériau utilisés. Des déformations
peuvent apparaître selon l'épaisseur de l'instrument et le débit de l'encre.
C'est pourquoi, l'écriture de Picasso tend à des déformations tout au cours de ses écrits.
Même si parfois on peut avoir l'impression
d'un étonnement particulier devant certains écrits extrêmement surchargés,
barrés en tous sens et noircis à souhait, il faut reconnaître
à Picasso la finesse avec laquelle il parvenait à faire des corrections et des
retouches très fines et très lisibles entre les lignes ou de chaque côté de celles-ci, avec autant d'application et de sérieux, alors qu'il
pouvait réaliser a contrario dans d'autres documents une épaisseur du
trait apparaissant comme un défi et prenant toute la place comme pour mieux
exprimer ses sentiments.
Picasso ne calcule
pas mais ne fait rien au hasard.
La page de couverture du livre « Picasso Poète » d'Androula Michaël reflète l'écriture comme un art avec tous les signes
que cette page contient: des paragraphes spécifiés par une grande parenthèse et
un demi-cercle, des points énormes avec des
traits barrés pas forcément utiles et des
couleurs.
L'émotion s'inscrit dans le tracé du dessin
représentant Stravinsky. On ne s'étonnera
donc pas que:
•
«
Stravinsky » soit écrit
avec un tracé
fin, et que:
•
« au
Marignan en 1935 - aux
Champs-Elysées » soit écrit en lettres plus épaisses.
Quoiqu'il en soit, on
ne peut guère douter que ces quelques
mots n'aient pas été écrits par Picasso.
Me trouvant
très honorée de cette demande d'expertise, celle-ci a été réalisée
à titre gracieux.
Angers, le 17 mars 2009
SI VOUS SOUHAITEZ AVOIR LE DOSSIER COMPLET
DE 40 PAGES D'EXPERTISES SE RAPPORTANT AUX
CONCLUSIONS CI-DESSUS ,JE PEUX VOUS LE
TRANSMETTRE par EMAIL
EXTRAITS DU BOOK DES
AVIS D'EXPERTS SUR CE DESSIN
vie (Ramsay poche cinéma) décrit longuement, au chapitre 8, la générale
des Parents Terribles et c'est bien ce jour-là que Coco Chanel entra dans
sa loge (p. 83) Vous devriez trouver ce livre sans difficulté sur e-bay.
IL est par ailleurs assez probable que Picasso, Stravinsky et Chanel soient
ensuite allé dîner ensemble...
Bonne chance!
Claude Arnaud,
Le 11/02/09 10:06, « WATINE » <Gwatine@aol.com> a écrit :
.....
troublants dans le dossier que vous me faites parvenir et de fortes
présomptions pour que l'attribution que vous envisagez soit établie
Pardon d abord pour le temps qu il m a fallu pour vous repondre
mais le moins que l on puisse dire , c est que vous n avez rien laisse au hasard ...
J ai bien etudie votre dossier qui me semble tres positif
Je tiens a vous preciser neammoins que mon domaine d expertise officiel se limite ( si l on peut dire )
aux impressionistes francais .
Je transmets donc le dossier a Maya Picasso ,fille de Picasso et a meme de certifier le dessin si elle le reconnait
authentique .
Je n ai pas le droit de vous communiquer ses coordonnees personnelles mais je reviendrai vers vous des que
j aurai le moindre element nouveau
Et bravo pour la qualite de vos recherches . Votre dossier est impressionnant!
magnifique enquête que vous m'adressez à propos de votre dessin de
Stravinsky, qui pourrait être effectivement de la main de Picasso.
Les observations que vous faites, les comparaisons, confrontations,
similitudes que vous relevez sont riches de sens, de logique et
plaident vraiment en faveur de votre attribution. Votre dossier de
reproductions est à cet égard convaincant.
Malheureusement, je ne suis pas du tout le spécialiste que vous
croyez et rien ne m'autorise, malgré mon minimum de connaissance sur
l'artiste, à confirmer ou infirmer votre position.
Vous évoquez dans votre courriel les noms d'authentiques spécialistes
tels Marie-Laure Bernadac, Chritine Piot, Dominique Dupuis-Labbé,
Gérard Régnier, Anne Baldassari qui dirige aujourd'hui le Musée
Picasso de Paris. Ils sont plus à même que moi pour vous donner un
avis scientifique.
Vous remerciant de votre confiance et espérant ne pas vous décevoir,
je vous prie de croire, cher Monsieur, en l'expression de mes
sentiments les meilleurs.
Je pense que vous faites bien de situer ce portrait, pas forcément comme compensation de la vente mais comme signe d'une amitié durable et d'une reconnaissance. Bien que Picasso ait un peu délaissé son amie. Je ne pense pas que ce soit à la demande de Cendrars, qui voyait peu Picasso dans ces années alors qu'il voyait souvent son amie chilienne. Ces années trente finissantes, des années noires ont été très difficiles pour Cendrars.
Quant au dessin, Picasso s'imitait si bien lui-même... qu'il a fait un dessin ressemblant à ses propres dessins tout autant qu'au modèle tel qu'il était à cette époque.
Vos analyses me semblent pertinentes et assises à la fois sur de hypothèses historiques et sur des rapprochements stylistiques. Vous pouvez sans trop de risques d'erreur le présenter comme un Picasso !
Bien à vous,
........................................................................................................................................................
on ne pourrait rien confirmer...j'avais vu, justement par Larionov, une
esquisse portrait de Stravinsky a Charleston Farmhouse dans le Sussex,
en Angleterre, qui ressemble bizarrement a ce portrait, ce qui pourrait
compliquer les choses....
mais bon courage, avec vos recherches,
Je dois d’abord vous préciser que si, à partir d’une analyse purement
picturale, je peux me prononcer quant à la qualité d‘une œuvre d’art,
je ne peux malheureusement pas garantir l’authenticité d’une peinture
ou d’un dessin. C’est le travail des experts « normaux ». Mes capacités
sont uniquement axées sur le phénomène plastique (là où les experts
normaux sont en général assez désarmés).
J’ai lu votre documentation et mon impression est positive.
Au premier survol (très superficiel) de vos écrits je les avais un peu
soupçonné d’être sous l’influence de ce qu’on appelle l’effet Forer,
que vous ne connaissez peut-être pas. Il s’agit d’une illusion
psychologique qui, sous certaines conditions et sous l’effet
d’observations et de raisonnements trop subjectifs, donne à une
personne passionnée la quasi-certitude d’avoir trouvé ce qu’elle
cherche.
Cette impression, à ne pas négliger car elle permet de garder la tête
froide, venait en fait du côté caricatural de ce dessin. Mais,
concernant cette caractéristique, vous avez trouvé une explication très
convaincante. Et puis, cette impression s’est estompée lorsque mes yeux
sont tombés sur les mots tracés au bas du dessin. Ces quelques mots
rappellent en effet l’écriture de Picasso d’une manière saisissante.
Cette écriture me semble par ailleurs particulièrement difficile à
imiter. Petit détail sans grande importance : le nom de Stravinski est
mal orthographié puisque, à ma connaissance il se termine en réalité
dans sa traduction française pas un i et pas par un y. On sait qu’il
arrivait à Picasso de faire quelques fautes en français. Autre petit
détail, lui aussi sans grande importance : le fait que le papier soit
abîmé n’est pas surprenant si l’auteur de Guernica l’a tenu en poche :
il était en effet assez peu soigneux avec ses dessins comme avec ses
peintures.
souple) exécutée d’une manière cursive qui part de la base du nez pour
se terminer à la base du cou est assez typique de Picasso (dans mon
livre je mentionne deux lignes comparables dans une toile de la série
des Déjeuner sur l’herbe
Merci de votre e-mail.
L'histoire du dessin est fascinant et intrigant. J'aimerais bien vous aider mais je ne possede pas l'information specifique dont vous avez besoin. Je sais que Chanel et Stravinsky ont continue leur amitie et que Picasso et Reverdy ont avait fait parti de leur circle d'amis. Tout ca est certain; pourtant je ne peut pas verifier vos hypotheses avec des correspondances. . Votre idee me semble tres plausible.
Bonne chance.
Amities
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l'oeuvre de Picasso.
Si la qualité ne me parît pas faire de problème, je ne suis pas
habilitée à authentifier quelqu'oeuvre de Picasso que ce soit.
Vous devriez contacter directement le Musée Picasso à Paris.
Bon travail
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Votre reconstruction est tout à fait possible, et digne d'un roman policier. Faites-en un roman, vous avez assez de matière. Je vous l'assure sans la moindre ironie.
En revanche, pour l'histoire de l'art (et le marché d'art) il reste un trou noir, et un but incertain. Je me répète, mais pour la bonne cause.
Le trou noir : le passage de ce dessin du restaurant présumé jusqu'au mur de votre grand-oncle.
Le but incertain : l'attribution du dessin.
La famille de Picasso ne répondra pas, parce qu'elle ne voudra pas se mouiller (conseillée évidemment par des experts de métier). Elle se protège derrière un écran de silence. Et cela parce que les experts, jaloux de nature, par nécessité dans un monde d'art et de vautours, eux, ne voudront pas reconnaître le dessin. Ne vous faites pas d'illusions. Restez loin des nids de guêpes, jusqu'au jour où ils vous invitent.
Tant que manque un lien concret entre la table du resto Marignan et votre oncle, vous tâtez dans le noir. Et personne ne vous en sortira par charité.
Ne perdez pas de vue que depuis au moins soixante-dix ans tlm voudrait "découvrir" un Picasso. Un dessin de lui ne passe jamais inaperçu, un quelconque objet sur lequel le maître a posé la main ne reste jamais sans annotation, les gens l'ont trop admiré et les marchands l'ont trop convoité. Donc dès son "apparition" il a dû y avoir des doutes sur votre dessin, et ils y resteront.
C'est pourquoi je vous conseille (mais c'est tout, c'est à vous de décider) de faire entrer ce dessin dans un autre domaine, un monde parallèle, sorti de la fascination Picasso.
Comme j'ai dit, c'est votre famille qui est intéressante, plus que les Coco et les Pablo, je vous le dis en tant qu'historien d'art qui vous veux du bien. Avec votre instinct de détective, vous allez trouver des choses fortes, moins spectaculaires pour commencer, moins pour le grand public au moins, mais plus pour l'avenir. Plus pour vous même. Eclairez-vous sur les liens de votre grand-oncle avec les Dutilleul et les Masurel et certainement d'autres dont on n'a pas entendu parler encore.
Maintenant je retourne au travail,
je pense que vous êtes un bon chercheur malgré les difficultés que vous avez pu rencontrer
et que la seule façon désormais d'arriver à une éventuelle authentification serait de présenter votre dossier à une maison de vente quelle qu'elle soit.
Avez-vous contacté Melle Annabelle Teneze qui est conservateur chargée du cabinet des dessins
pour lui demander un rendez-vous, ne serait-ce que pour lui présenter l'œuvre sur laquelle vous travaillez.
WOW, what a research dossier you have assembled. Of course, I am hardly an expert on Picasso, like John Richardson or Anne Baldessari, to take obvious examples. To me, the drawing does NOT look like the sort of work I might expect from Picasso around 1938. BUT your research surely makes an impressive case for the possibility that the drawing is indeed by Picasso. The graphological comparisons are rather impossible to dispute.
Have you read volume III of Richardson 's Life of Picasso yet? It treats the friendship between Picasso and Stravinsky with great sensitivity and insight, albeit during the teens and early 20s.
I do not know how I can be helpful, but please keep me informed about your progress.
Good luck,
Dr....... from my University of......had the kindness to transfer me your request concerning your drawing. Being since twenty years on completey other levels of research, I only can assure you that the drawing looks fine and presumably authentic to me. But actually I can't verify all your elaborated hints in your quite astonishing network of connections.
I am so deeply absorbed by other scientific tasks that I ask for your indulgence. Please do not send me further materials.
With best wishes
.......... REPONSES POUR PUBLICATION LIVRE OU REVUES..............................
Votre reconstruction est tout à fait possible, et digne d'un roman policier. Faites-en un roman, vous avez assez de matière. Je vous l'assure sans la moindre ironie.
La famille de Picasso ne répondra pas, parce qu'elle ne voudra pas se mouiller (conseillée évidemment par des experts de métier). Elle se protège derrière un écran de silence. Et cela parce que les experts, jaloux de nature, par nécessité dans un monde d'art et de vautours, eux, ne voudront pas reconnaître le dessin. Ne vous faites pas d'illusions. Restez loin des nids de guêpes, jusqu'au jour où ils vous invitent.
Ne perdez pas de vue que depuis au moins soixante-dix ans tlm voudrait "découvrir" un Picasso. Un dessin de lui ne passe jamais inaperçu,C'est pourquoi je vous conseille (mais c'est tout, c'est à vous de décider) de faire entrer ce dessin dans un autre domaine, un monde parallèle, sorti de la fascination Picasso.
Comme j'ai dit, c'est votre famille qui est intéressante, plus que les Coco et les Pablo, je vous le dis en tant qu'historien d'art qui vous veux du bien. Avec votre instinct de détective, vous allez trouver des choses fortes, moins spectaculaires pour commencer, moins pour le grand public au moins, mais plus pour l'avenir. Plus pour vous même. Eclairez-vous sur les liens de votre grand-oncle avec les Dutilleul et les Masurel et certainement d'autres dont on n'a pas entendu parler encore.
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Désolé, mais non. Trop de reprises, de faiblesses (dans les "hachures", comme vous dites, ce très vilain "remplissage", à peine "scolaire"), ce tremblant du contour de la bouche (sous "hachures" encore, comme on décalque, ne sachant à l'avance où se rendre), lors que partout Picasso affirme, c'est "gravé", sans "retour", jamais "hésitant", la moindre virgule, comme Rembrandt, même dans le motif, libre mais le geste ferme. Ici et là, il bredouille, passé 70 (dont son tout dernier dessin) peut-être, en 38 non, un sommet.
RépondreSupprimerVotre, hélas.
F.F.
Merci de votre Commentaire FF. Je vous invite a lire le livre de SABARTES " PICASSO , Portraits et souvenirs " et le paragraphe concernant Décembre 1938 ( 1 mois après le portrait de STRAVINSKY) . Il écrit concernant le portrait que PICASSO a fait de lui que vous retrouvez dans mon blog ( paragraphe a de l'étude stylistique B)
SupprimerA la page 190 du recueil de SABARTES concernant son portrait par PICASSO
" Ce portrait est dessiné sur un papier ordinaire qui n'offre aucune résistance à la pointe du crayon . En suivant son élan créateur et en se détendant. PICASSO soucieux de satisfaire un désir étranger à lui a oublier la qualité de la matière . Il a pris le premier bout de papier qui lui est tombé sous la main pour tracer les lignes à la grâce de Dieu. La mine de plomb a fait des siennes pendant qu'il s'obstinait à chercher des effets de noir: le crayon n'en peut mais le malheureux papier n'a pas résisté"
Même cause même effets avec ce portrait de STRAVINSKY ( voir au dos , des étiquettes ont été collés aux endroits ou la pointe de l'instrument a traversé le papier , ce qui donne l'impression d'hésitations de coupures et de manque de fermeté dans le dessin ) . Je pense que cela répond à votre observation en vous donnant l'explication
Bonsoir monsieur bravo pour cette découverte tenez bon je suis dans la même situation pour un Renoir et deux tableaux d’Eugène Delacroix mR Ziani Ahmed taper sur internet mon histoire j’ai fait faire un livre Renoir et le marchand d’art publier sur Amazon j’ai mis la fondations wildenstein devant les tribunaux je lache rien courage monsieur
RépondreSupprimerJe vous connais ,je vous suis par les articles de presse et les reportages qui ont été fait sur votre découverte d’un RENOIR il y a quelques années . Je vais bien entendu lire votre livre J’ai aussi une petite gouache signée DE VLAMINCK, dont les études se trouve dans ce blog . Comme vous j’ai fait appel à WIldenstein aux États Unis . Avant de regarder la gouache , il me demande des frais de dossier et autres frais exorbitants pour moi qui suis retraité et de plus il faut envoyer la gouache aux États Unis , transport et assurances aller et retour à ma charge alors j’ai été contraint de laisser tomber pour le moment mais comme vous , de nombreux experts m’ont dit de ne pas laisser tomber l’affaire et donc pour l’administration Picasso et WIldenstein c’est le même combat. J’espère que leurs agissements rapportés sur la place publique, les médias , la presse fera bouger les choses et réagir le marché de l’art sur leurs abus de pouvoir e t donc je vous dis aussi tenez bon
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